Speech
by NATO Secretary General Anders Fogh Rasmussen at the Ground Breaking ceremony
Monsieur le Premier ministre,
Excellences,
Mesdames et Messieurs,
Merci, Monsieur le Ministre, pour cette introduction.
Et merci à tous d’avoir bravé les intempéries en cette matinée de décembre et d’être présents à cette cérémonie, qui marque une étape dans l’histoire de l’OTAN ; aujourd’hui, nous allons officiellement poser la première pierre du nouveau siège de l’Alliance : ce sera une nouvelle maison pour une nouvelle OTAN !
Je remercie tout particulièrement la Belgique, qui a mis le terrain à notre disposition pour y construire les nouveaux locaux de l’OTAN et qui a bien voulu assumer le rôle de pays hôte pour le projet de construction. Et merci aussi aux représentants de Bruxelles qui sont ici aujourd’hui.
À l’OTAN, nous nous réjouissons à la perspective d’avoir un nouveau bâtiment.
Nos anciens bâtiments nous ont été bien utiles - et le sont encore -, d’autant qu’ils devaient être une solution temporaire. Je peux vous dire qu’il y a encore quelques collègues à l’OTAN qui se souviennent de leur déménagement de Bruxelles à Paris en 1967. Et je suis certain qu’aucun d’entre eux ne pensait alors que nous serions encore là aujourd’hui - 43 ans plus tard.
Nos bâtiments, comme notre Organisation, ont perduré.
But a lot has changed over the last four decades. Our need for a new, purpose-built Headquarters has become overwhelming.
First of all, the Alliance has grown bigger – a lot bigger. When we first moved to Brussels we had 15 members. Today there are 28 Allies and over 50 partner countries.
But NATO has not only grown in size, it has also become a lot busier. We have new missions, new capabilities and new partners. Looking ahead we face new challenges.
As we face these demands we are modernising the way that we do our business. Just last month at our Lisbon summit we agreed a new Strategic Concept, to serve as NATO’s blueprint for the next decade.
We pledged to make the Alliance more effective in carrying out its missions; more efficient in the way it uses resources; and more engaged with the wider world to tackle global challenges such as terrorism, proliferation and cyber warfare.
A modern NATO needs a modern building. Our current building simply cannot cope with the demands that we are placing on it. It is too small, it is too inflexible, and it is inefficient.